THE ABSENCE : Riders Of The Plague

-Note : 11/20


- Line-up :
Patrick Pintavalle (guitare)
Jamie Stewart (chant)
Jeramie Kling (batterie)
Peter Joseph (guitare)
Nicholas Calaci (basse)

- Track listing :
01) Riders Of The Plague
02) Dead And Gone
03) The Murder
04) Echos
05) World Divides
06) Prosperty
07) Awakening
08) Merciless
09) Into The Pit
10) The Victorious Dead
11) Outro

The Absence est un groupe ricain de death mélodique totalement inconnu en Europe qui, le mois dernier, à sorti Riders Of The Plague leur véritable premier album. Après s'être forgé une bonne connaissance de la scène (tournés U.S avec Cannibal Corpse, Nile, Strapping Young Lad, Immolation, Grave, Six Feet Under, Yngwie Malmsteen, ...) voyons ce que nous propose le combo après un passage au Mana Studio.
Le groupe se situe musicalement aux confins du gros death bien lourd américain et celui plus mélodique venant d'Europe du Nord comme un certain Arch Enemy, la principale influence de The Absence. Riders of The Plagues excelle par des riffs percutants et mélodiques à souhaits, les grattes partent souvent en soli et la rythmique fait son travail ni plus ni moins. Le chant est sommes toute typé européen mais en reste pas moins efficace. La production assurée par Jonas Kellgren (Scar Symmetry) et Erik Rutan’s (Hate Eternal) est au poil. Malheureusement, on fini vite par tournée en rond et les 55 minutes que contient le disque sont longues. Notons un instrumental de 4 minutes placé en milieu d'album qui ne casse pas le rythme et qui permet de percevoir le talent et la technicité de leurs compositions. Car oui, Riders of The Plague est un album complexe, aux compositions très bien arrangées !
The Absence avec Riders of The Plagues nous proposes un album soigné mais qui pêche par manque d'originalité. Mais il faut savoir qu'aux states, ils ne connaissent pas les touches mélodiques dans le death metal, tandis que sur le vieux continent les groupes explorant cette veines sont légions (Arch Enemy, Dark Tranquility, In Flames, ...) donc évitons de leur jeter la pierre. Même si cette touche de "déjà vu" colle au disque, je vous encourage à jeter une oreille sur ce Riders of The Plagues en espérant les ré-écoutés avec un futur opus un peu plus personnel.

Par Clément

En tous cas la pochette est sympa, on dirait du Half-life²

Oui, c'est ce qui m'a poussé à le chroniquer

Clément a écrit:Oui, c'est ce qui m'a poussé à le chroniquer

On reconnait les geeks ^^