Megadeth, That One Night
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Megadeth, That One Night
MEGADETH : « That One Night »
Sortie le 6 mars 2007 chez Roadrunner Records
Site Officiel du Groupe : [url]http://www.megadeth.com [/url]
- Note : 17/20
- Line-up:
Dave Mustaine (chant, guitare)
Glen Drover (guitare)
James Lomenzo (basse)
Shawn Drover (batterie)
- Track listing :
01) Blackmail the Universe
02) Set the World Afire
03) Wake Up Dead
04) In My Darkest Hour
05) She Wolf
06) Reckoning Day
07) A Tout Le Monde
08) Hangar 18 & Return of Hangar
09) I’ll Be There
10) Tornado of Souls
11) Trust
12) Something I’m Not
13) Kick the Chair
14) Coming Home
15) Symphony of Destruction
16) Peace Sells
17) Holy Wars
Il y a cinq ans que Megadeth n’avait plus sorti de DVD live. Voilà qui est fait avec le petit dernier intitulé « That One Night », shooté lors du "Pepsi Music Festival de Buenos Aires" le 9 octobre 2005. Megadeth était la tête d’affiche de la soirée et se produisait là dans le cadre du « Blackmail the Universe Tour ».
C’est logiquement que ce concert s’ouvre par « Blackmail the Universe ». Un bon morceau dans l’ensemble, même si il est loin d’être le meilleur de Megadeth. L’enchaînement est vite fait avec l’énorme « Set the World Afire », son riff extraordinairement efficace et son solo (que Dave Mustaine achève en chantant). Un morceau rapide et très heavy comme Megadeth sait si bien le faire. Vient ensuite « Wake up Dead » et son long passage instrumental (plus de la moitié du morceau). A la fin de celui-ci, arrive un riff plein de groove auquel le public répond plutôt bien. Un bon morceau mais tout de même un peu mou. Mais le concert commence à devenir réellement emballant lors de « In my Darkest Hour », lorsque le riff bien heavy succède à la mélodie d’intro, le public est déchaîné et saute comme un seul homme. Impressionnant. Tout comme ce fameux solo suivi d’un riff plus que couillu. Petite coupure où Glen et Dave jouent en acoustique devant quelques fans. Très convivial certes mais ce genre de pause n’apporte rien au DVD. Il aurait été plus convenable de faire figurer ça en bonus. Enfin bon, tout ça débouche sur « She-Wolf », morceau plus léger mais avec un refrain très sympathique. La réelle force de ce morceau n’est autre que l’ensemble de solos et d’harmonies en fin de morceau. On repart sur quelque chose de beaucoup plus Metal avec « Reckoning Day ». Nous avons droit à une intro surpuissante, un riff groovy, un passage en son clair pour soutenir un solo et un refrain très catchy avant une conclusion apocalyptique. Enorme. Dave Mustaine prend ensuite place sur une plate-forme avançant droit vers le public et est acclamé par ce dernier. Là, il entame « A tout le Monde ». Morceau sombre et assez calme mais au refrain fédérateur chanté en français. Le solo (effectué par Glen Drover) est suivi par le refrain, chanté par le public. Les deux guitaristes se retrouvent ensuite sur la plate-forme pour terminer cette splendide composition sur un duo harmonisé. Retour en 1990 avec « Hangar 18 » et son intro très puissante. Le riff de Mustaine est ensuite chanté par une foule chauffée à blanc. Drover et Mustaine se renvoient ensuite la balle avec des solos ultra précis. Tout cela continue avec « Return of Hangar ». Vient alors « I’ll Be There », morceau plus calme, avec une intro à consonance orientale et un refrain taillé pour faire chanter le public. A noter tout de même un bon travail de la part du batteur. « Tornado of Souls » redonne la pèche grâce à ses riffs plus rapides et de très bon passages (entre autres, le fameux « Who's to say, what's for me to say...be...do »). Encore un excellent solo de la part de Drover et on passe à un nouveau passage acoustique qui n’apporte pas plus que le premier. Le bassiste, James MacDonough (remplacé par James Lomenzo depuis 2006), s’avance à son tour sur la plate-forme et, sur fond symphonique, entame « Trust ». Nouveau solo de Drover et on constate que Mustaine arrive avec une double Flying V (ou une Flying W, appelez ça comme vous voulez). Avant de terminer, Dave chante le refrain en Espagnol. Place maintenant aux nouveaux morceaux. A commencer par « Something I’m Not » et sa rythmique très saccadée. Ce titre donne aussi vie à un solo en taping de la part de Mustaine. On passe à « Kick the Chair ». Avec ses riffs nettement plus agressifs, ce morceau a tous les atouts pour déchaîner la foule, ce qui ne tarde pas à être fait. Après les harmonies de guitare (très bien filmée puisque chaque partie de l’écran splitté en deux montre un guitariste), le moment scout de la soirée avec « Coming Home ». Un morceau en acoustique qui n’a pas vraiment sa place dans un tel concert. Heureusement, Megadeth se rattrape avec « Symphony of Destruction ». Un titre on ne peut plus heavy et efficace. Un son brut et dévastateur qui transmet son énergie à environ 30 000 personnes. Une fois de plus, la technique de Drover se fait remarquer. Le bassiste reprend le devant de la scène avec l’intro de « Peace Sells ». Un morceau culte parmis tant d’autres. Le riff bien thrash et les nombreux solos qui ponctuent la chanson font encore mouche après plus de 20 ans. Sans oublier le refrain et le leitmotiv de la fin, repris massivement par le public. Une dernière coupure acoustique (encore une de trop) avant le grand final. « Holy Wars » ! L’enchaînement de l’intro et de la rythmique extrêmement rapide, est tout simplement génial. Drover se charge du solo espagnol qui coupe véritablement la chanson en deux parties distinctes et après la rythmique heavy, Mustaine se charge de la mélodie. Un riff encore une fois très complexe, effectué en chantant, bien évidemment. Quel talent. Le passage le plus Thrash de tout le set arrive avec un riff de dingue et le fameux solo de Dave qui clôture le concert. Sur une musique de fond, le groupe salue longuement son public et quitte la scène après un concert de plus d’une heure et demie.
On peut dire que « ce soir là » était celui de Megadeth. Encore un point positif sur ce DVD : la réalisation, des images nettes, beaucoup de plans fixes et pas d’effets visuels abusifs.
Par Malterser
Sortie le 6 mars 2007 chez Roadrunner Records
Site Officiel du Groupe : [url]http://www.megadeth.com [/url]
- Note : 17/20
- Line-up:
Dave Mustaine (chant, guitare)
Glen Drover (guitare)
James Lomenzo (basse)
Shawn Drover (batterie)
- Track listing :
01) Blackmail the Universe
02) Set the World Afire
03) Wake Up Dead
04) In My Darkest Hour
05) She Wolf
06) Reckoning Day
07) A Tout Le Monde
08) Hangar 18 & Return of Hangar
09) I’ll Be There
10) Tornado of Souls
11) Trust
12) Something I’m Not
13) Kick the Chair
14) Coming Home
15) Symphony of Destruction
16) Peace Sells
17) Holy Wars
Il y a cinq ans que Megadeth n’avait plus sorti de DVD live. Voilà qui est fait avec le petit dernier intitulé « That One Night », shooté lors du "Pepsi Music Festival de Buenos Aires" le 9 octobre 2005. Megadeth était la tête d’affiche de la soirée et se produisait là dans le cadre du « Blackmail the Universe Tour ».
C’est logiquement que ce concert s’ouvre par « Blackmail the Universe ». Un bon morceau dans l’ensemble, même si il est loin d’être le meilleur de Megadeth. L’enchaînement est vite fait avec l’énorme « Set the World Afire », son riff extraordinairement efficace et son solo (que Dave Mustaine achève en chantant). Un morceau rapide et très heavy comme Megadeth sait si bien le faire. Vient ensuite « Wake up Dead » et son long passage instrumental (plus de la moitié du morceau). A la fin de celui-ci, arrive un riff plein de groove auquel le public répond plutôt bien. Un bon morceau mais tout de même un peu mou. Mais le concert commence à devenir réellement emballant lors de « In my Darkest Hour », lorsque le riff bien heavy succède à la mélodie d’intro, le public est déchaîné et saute comme un seul homme. Impressionnant. Tout comme ce fameux solo suivi d’un riff plus que couillu. Petite coupure où Glen et Dave jouent en acoustique devant quelques fans. Très convivial certes mais ce genre de pause n’apporte rien au DVD. Il aurait été plus convenable de faire figurer ça en bonus. Enfin bon, tout ça débouche sur « She-Wolf », morceau plus léger mais avec un refrain très sympathique. La réelle force de ce morceau n’est autre que l’ensemble de solos et d’harmonies en fin de morceau. On repart sur quelque chose de beaucoup plus Metal avec « Reckoning Day ». Nous avons droit à une intro surpuissante, un riff groovy, un passage en son clair pour soutenir un solo et un refrain très catchy avant une conclusion apocalyptique. Enorme. Dave Mustaine prend ensuite place sur une plate-forme avançant droit vers le public et est acclamé par ce dernier. Là, il entame « A tout le Monde ». Morceau sombre et assez calme mais au refrain fédérateur chanté en français. Le solo (effectué par Glen Drover) est suivi par le refrain, chanté par le public. Les deux guitaristes se retrouvent ensuite sur la plate-forme pour terminer cette splendide composition sur un duo harmonisé. Retour en 1990 avec « Hangar 18 » et son intro très puissante. Le riff de Mustaine est ensuite chanté par une foule chauffée à blanc. Drover et Mustaine se renvoient ensuite la balle avec des solos ultra précis. Tout cela continue avec « Return of Hangar ». Vient alors « I’ll Be There », morceau plus calme, avec une intro à consonance orientale et un refrain taillé pour faire chanter le public. A noter tout de même un bon travail de la part du batteur. « Tornado of Souls » redonne la pèche grâce à ses riffs plus rapides et de très bon passages (entre autres, le fameux « Who's to say, what's for me to say...be...do »). Encore un excellent solo de la part de Drover et on passe à un nouveau passage acoustique qui n’apporte pas plus que le premier. Le bassiste, James MacDonough (remplacé par James Lomenzo depuis 2006), s’avance à son tour sur la plate-forme et, sur fond symphonique, entame « Trust ». Nouveau solo de Drover et on constate que Mustaine arrive avec une double Flying V (ou une Flying W, appelez ça comme vous voulez). Avant de terminer, Dave chante le refrain en Espagnol. Place maintenant aux nouveaux morceaux. A commencer par « Something I’m Not » et sa rythmique très saccadée. Ce titre donne aussi vie à un solo en taping de la part de Mustaine. On passe à « Kick the Chair ». Avec ses riffs nettement plus agressifs, ce morceau a tous les atouts pour déchaîner la foule, ce qui ne tarde pas à être fait. Après les harmonies de guitare (très bien filmée puisque chaque partie de l’écran splitté en deux montre un guitariste), le moment scout de la soirée avec « Coming Home ». Un morceau en acoustique qui n’a pas vraiment sa place dans un tel concert. Heureusement, Megadeth se rattrape avec « Symphony of Destruction ». Un titre on ne peut plus heavy et efficace. Un son brut et dévastateur qui transmet son énergie à environ 30 000 personnes. Une fois de plus, la technique de Drover se fait remarquer. Le bassiste reprend le devant de la scène avec l’intro de « Peace Sells ». Un morceau culte parmis tant d’autres. Le riff bien thrash et les nombreux solos qui ponctuent la chanson font encore mouche après plus de 20 ans. Sans oublier le refrain et le leitmotiv de la fin, repris massivement par le public. Une dernière coupure acoustique (encore une de trop) avant le grand final. « Holy Wars » ! L’enchaînement de l’intro et de la rythmique extrêmement rapide, est tout simplement génial. Drover se charge du solo espagnol qui coupe véritablement la chanson en deux parties distinctes et après la rythmique heavy, Mustaine se charge de la mélodie. Un riff encore une fois très complexe, effectué en chantant, bien évidemment. Quel talent. Le passage le plus Thrash de tout le set arrive avec un riff de dingue et le fameux solo de Dave qui clôture le concert. Sur une musique de fond, le groupe salue longuement son public et quitte la scène après un concert de plus d’une heure et demie.
On peut dire que « ce soir là » était celui de Megadeth. Encore un point positif sur ce DVD : la réalisation, des images nettes, beaucoup de plans fixes et pas d’effets visuels abusifs.
Par Malterser
Re: Megadeth, That One Night
on peut en déduire que Malteser n'aime pas les morceaux acoustiques
ça a l'air sympa je vais essayer de le choper
ça a l'air sympa je vais essayer de le choper
Re: Megadeth, That One Night
Je tiens à préciser que les morceaux acoustiques sont des parties intercallées dans le concert. Elles ne font pas partie du concert.
De plus, c'était loin d'être indispensable.
De plus, c'était loin d'être indispensable.
Re: Megadeth, That One Night
J'ai gagné ce DVD sur un concour de Hard'n'heavy et je dois avoué qu'il est vraiment très bon! Bonne communication avec le public, un excellent son! Fan de Megadeth? Faut l'acheter...
Thybault- Apprenti Héros
- Nombre de messages : 16
Date d'inscription : 14/01/2008
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