SYMPHONY X - Paradise Lost
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SYMPHONY X - Paradise Lost
SYMPHONY X « Paradise Lost »
Sortie le 26 Juin 2007 chez InsideOut
Site officiel : http://www.symphonyx.com/
Note : 17/20
Line-up :
• Michael James Romeo - guitare
• Russell Allen - chant
• Michael Anthony LePond III - basse
• Jason Rullo - batterie
• Michael Pinnella - clavier
Tracklisting :
1. Oculus ex Inferni
2. Set the World on Fire (The Lie of Lies)
3. Domination
4. The Serpent’s Kiss
5. Paradise Lost
6. Eve of Seduction
7. The Walls of Babylon
8. Seven
9. The Sacrifice
10. Revelation (Divus Pennae ex Tragoedia)
Sortie le 26 Juin 2007 chez InsideOut
Site officiel : http://www.symphonyx.com/
Note : 17/20
Line-up :
• Michael James Romeo - guitare
• Russell Allen - chant
• Michael Anthony LePond III - basse
• Jason Rullo - batterie
• Michael Pinnella - clavier
Tracklisting :
1. Oculus ex Inferni
2. Set the World on Fire (The Lie of Lies)
3. Domination
4. The Serpent’s Kiss
5. Paradise Lost
6. Eve of Seduction
7. The Walls of Babylon
8. Seven
9. The Sacrifice
10. Revelation (Divus Pennae ex Tragoedia)
Décidément Juin est chargé en grosses sorties ! Après l’excellent Kamelot voici le petit dernier de Symphony X ! Entrons sans plus tarder dans le vif du sujet. L’intro orchestrale et choeur classique est peut-être trop classique ici justement, mais ça ne suffit pas à nous décourager, et nous aurons raison ! « Set the world » rappelle sur le début l’ambiance de V mais très vite les riff tournent aux Inferno : guitares lourdes et saccadées, voix rauques, tonalités très graves, on se retrouve donc dans l’atmosphère de l’album précédent. Du très bon en somme ! L’intro à la basse de « Domination » sonne étrangement comme « Sea of lies » sur « Divine wings », la guitare s’y accorde aussi. Bon il ne s’agit que d’un morceau, un petit retour en arrière ne fait pas de mal. « Serpent’s kiss » sonne comme un bon vieux hard rock des eighties, c’est poussièreux à souhait, excellent, une montée vocale comme je les affectionne, et un pont de chorale original. Pour fignoler le tout, le morceau est bardé de solos, avis aux amateurs. Le titre nominatif commence sur quelques notes de piano et un chant posé à la « V », titre tout en finesse appréciable devant autant de décibels. « Eve of Seduction » à toute vitesse, Symphony X explore de nouveaux horizons sur ce morceau, plus heavy, et le refrain est une merveille de nuances mélodiques. Le dark reprend le dessus sur « Walls of Babylon », on sent l’importance des choeurs sur cet opus. Une intro instrumentale de plus de 3min accompagnée d’un jeu de basse massif, le chant reprend de la puissance, Russel se déchaine, solos de claviers et de guitare enchainés... Voici mon coup de choeur de l’album, « Seven », une perle de rapidité, de technique, un monument du heavy prog ! Le chant est rageur, une pluie de notes deferle dans nos oreilles, et ce refrain dark à souhait, j’adore ! On prend une pause à la 4ème minutes pendant le solo de clavier et on repart de plus belle ! « The sacrifice » est la 2ème pause que s’accorde le groupe, mais 1ère rencontre entre une mélodie douce et la nouvelle tessiture hargneuse de Russell : la belle et la bête. « Revelation », la grosse artillerie du disque, déboule sur une sonorité nouvelle pour Sympho, des riffs plus aigus, puis l’aspect sombre de leur musique reprend le dessus. Un mélange bien dosé des ambiances présentes sur « V » et « The odyssey », qui semble resté les influences favorites de leur discographie. Le morceau est découpé en chapitres enchainés, de la manière dont « The odyssey » (la chanson) avait été composée, ce qui conlut efficacement cet album.
Quand est-ce que ce groupe cessera de nous en mettre plein la vue ? Car encore une fois, avec ce patchwork d’idées reprises de leur carrière passée, essentiellement des 2 derniers opus, additionné de sons nouveaux et experiences en tout genre qui font l’interêts de chaque albumn Symphony X fait mouche sans pour autant provoquer la même revolution qu’entre « V » et « Odyssey » (ces deux noms reviennent souvent ici). Après 7 missiles aussi variés les uns que les autres, les progistes ricains ont sûrement trouvé leur son.
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