THE VERY END - Merci & Misery

Note : 12/20
* Bjoern Goosses - Chant
* René Bogdanski - Guitare
* Volker Rummel - Guitare
* Marc Beste - Basse
* Lars Janosch - Batterie

01. Memento
02. Ball And Chain
03. The Leper
04. Rat Nation
05. Dead Is The New Alive
06. Letters To The Living
07. A Hole In The Sun
08. For All Things Undone
09. Vultures
10. Immigrant Song (Led Zeppelin cover)
11. Three Zero Nine
12. Blacklisted
13. Maniac (Mickael Sembello cover)

Sortile 17 janvier 2011 via Steamhammer/SPV

Site Officiel: www.theveryend.net

Myspace: www.myspace.com/theveryend

The Very End est un groupe d'outre rhin qui nous proposes en ce début 2011 son deuxième albums appelé Mercy & Misery enregistré et produit par le réputé Waldemar Sorychta, un gage de qualité.

L'album débute par une très belle intro émouvante "Memento", une intro jouée à la guitare puis arrive la batterie et l'enchaînement sur la deuxième pistes "Ball And Chain" avec des riffs acérés, un chant typé deathcore. Du classique, quelque chose de sobre sans prise de risque mais efficace. The Very End officie donc dans le deathcore ou plutôt le metalcore (pour les amateur d'étiquette). Les allemands mélangent donc les styles, le titre "Ball And Chain" révèle le mélange fait par le groupe, les riffs et les quelques gutturaux sont tirés du death mélo plus les refrains sont bien plus mélodique avec un chant clair totalement différent. Cependant, rien de neuf, que du vieux mélangé à la sauce "The Very End", dans l'approche musicale nous sommes proche de Sonic Syndicate avec à mon goût plus de variété dans le son. "Rad Nation" contient de gros passages mélodique, "Dead Is The New Alive" est bien plus heavy thrash, "Letters" et un mélange de death et de thrash, "Vultures" est du pur thrash. Première cover de cet album, "Immigrant Song" une reprise de Led Zeppelin un peu plan plan, viendra par la suite une bien meilleur reprise de "Maniac" de Mickael Sembello). "Three Zero Nine" et "Blacklisted" continuent dans cette veine thrashy. Au niveau de la production, rien à dire, du bon boulot signé Waldemar Sorychta le son est carré, massif et l'auditeur en prend pleins les oreilles !

The Very End nous proposes donc un album correct, varié, distrayant mais nos amis allemand n'invente rien et j'ai bien peur que dès leur prochaine album leur musique tournera en rond ... Espérons qu'ils me feront mentir !